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C’était un de ces matins qui avaient le goût du changement. L’air vibrait d’énergie et devant le miroir, elle se regardait, pieds nus, en sous-vêtements. Ses cheveux tombaient sans retenue sur ses épaules et sa peau brillait à la lumière. Son regard glissait fièrement sur les courbes de son corps. Chaque ligne racontait son histoire, et aujourd’hui, elle ne voulait rien cacher.

Sur le lit se trouvait la tenue qu’elle avait choisie avec soin. Le chemisier translucide épousait sa peau comme une caresse, les boutons étaient trop petits pour vraiment tenir. La jupe, si effrontément courte, dansait à la limite de l’interdit à chaque mouvement. Elle a remonté le chemisier sur ses épaules, a fermé les boutons et a laissé ses doigts glisser sur la peau lisse avec espièglerie. Lorsque la jupe a entouré ses hanches, elle a observé sa silhouette. Le tissu était si près d’elle qu’elle se sentait presque nue – et c’est ce qu’elle aimait.

Chaque respiration était un jeu. L’air caressait sa peau et son chemisier se tendait, sa poitrine se dessinant clairement en dessous. Que diriez-vous de ne pas porter de jupe ? De ne sortir dans la rue qu’en slip ? Cette pensée a fait naître un sourire sur ses lèvres.

Dans le studio, elle a laissé tomber négligemment ses chaussures, le sol froid sous ses pieds lui envoyant des picotements dans le corps. Elle s’est avancée au milieu de la pièce, s’est placée devant la caméra et a commencé à bouger, non pas pour une prise de vue, mais juste pour elle. Ses mains se sont promenées sur son corps, ont retiré le chemisier de la ceinture, ont défait les boutons jusqu’à ce que le tissu cède et révèle plus de peau. La jupe a glissé plus haut, le chemisier est tombé de ses épaules. Ses doigts ont glissé sur son ventre, ses hanches, plus bas, jusqu’à ce qu’elle s’arrête, qu’elle sente le moment et qu’elle pousse finalement sa culotte sur le côté.

Ce n’était pas un spectacle, ce n’était pas un jeu. C’était un pur abandon, à elle-même, à son désir, à la liberté qu’elle ressentait dans chaque mouvement. La chaleur se répandait en elle jusqu’à ce qu’elle s’écroule, épuisée, sur le tapis moelleux. Sa respiration était rapide, sa peau était brûlante, son énergie pulsait encore dans chaque fibre de son corps.