parfum délicat du rêve

nackte Elfe am See

Nur für Mitglieder

Dieser Inhalt ist nur für Mitglieder freigegeben.

Werde jetzt Mitglied und erhalte vollen Zugriff auf ALLE Inhalte. Die Registrierung dauert nur wenige Augenblicke und Du erhältst sofort Zugriff ohne Wartezeit.

Jetzt Mitglied werden

Du bist bereits Mitglied? Dann kannst Du Dich hier einloggen

Lorsqu’il se réveilla, une sensation lourde et douce-amère pesait sur sa poitrine, tandis qu’une chaleur réconfortante envahissait son corps – l’écho d’un rêve qui se déversait comme un fleuve tranquille et coulant. Les images des elfes aquatiques, leurs rires séduisants, le doux chuchotement de l’eau, les reflets humides de la lumière dansant sur leur peau étaient si vivants qu’ils lui semblaient être un sort caché, tissé uniquement pour lui. Un tiraillement mystérieux s’éveilla en lui, l’intuition que le rêve avait été plus qu’une image fugitive. Il se sentit appelé, comme si la vision nocturne lui avait murmuré une invitation cachée à l’oreille. Ce matin-là, le cœur battant, il traversa la forêt, ses pas s’accélérant tandis que les arbres l’entouraient comme de vieux familiers. C’était comme si la forêt entière l’initiait à un secret ancestral qui n’attendait que lui. Arrivé au lac, les souvenirs ont éclaté – les elfes en robes translucides qui recouvraient leurs corps comme un voile chatoyant, révélant un secret fugace à chaque mouvement. Leurs yeux, emplis d’une étrange lumière vivante, et leurs gestes gracieux faisaient battre son cœur. Un léger écho de son rire flottait dans l’air, et il crut percevoir un délicat parfum d’eau fraîche et de fleurs envoûtantes, suspendu dans la brise comme une tentation. Il s’approcha de l’eau avec hésitation, sa main glissa doucement sur la surface fraîche et un frémissement subtil parcourut ses doigts. À cet instant, alors que l’eau clapotait doucement contre sa main, il sentit qu’une part de rêve était restée en lui – un désir ardent de quelque chose d’inaccessible, qui semblait pourtant si proche qu’il pourrait presque le toucher s’il osait faire le dernier pas.